UN BON CONSEIL QUE JE N'APPLIQUE PAS TOUJOURS

Publié le par BlindBlack

 

 "Joyeux anniversaire

et bonne année 2007 !

Pour l'avenir, de belles aventures

en perspective

sous le sceau de l'humilité...

Car L'argent ne fait pas le bonheur.

Perdu dans le monde du bizness litteraire et des paillettes, arrivera tu à trouver

ton chemin? "

M  repondit d’un bref message : "merci et bonne année"

D’où cette suite proposée par un ami de BlindBlack

« L'humilité est la vertu qui s'oppose à l'orgueil, à la suffisance ou à l'arrogance. La personne humble est celle qui reconnaît ses limites et ses fragilités........... »

- UN PEU COURT la réponse de M

MAIS LE TEMPS FAIT BEAUCOUP DE CHOSE

IL FAUT GARDER LE CONTACT MEME INFIME

Infiniment infime mais essentiel comme la poésie!
http://dheudre.over-blog.com/

.........MOI JE TENTE LA MEME CHOSE AVEC TOI...........

MAIS IL EST DEJAS BIEN LOIN SOUS LES BILLETS DE 100€  ET LE BONHEURE

"Il faut être un fou, aimer les galères et avoir l'envie" ET TOI TU GALERE ET TU AS TOUJOURS ENVIE...de 1000 choses de la vie... VIVRE  1 JOUR DE PLUS

  le soleil est dans le jardin

*

ET LE COTE SOMBRE... 2eme sujet  / PSYCHANALYSE ET PESSIMISME /

 

 

 L'approche de la psychanalyse invite à penser la maladie mentale comme manifestation de la sexualité infantile présente en chacun et des traumatismes qu'elle a pu provoquer. Mais cette psychologie s'etend au normal et s'efforce alors de révéler la pulsion, le désir constant, en chacun. L'idée d'un pessimisme freudien est liée à la théorie d'une pulsion de mort. Sigmund Freud considère à partir de 1920 qu'à la sexualité psychique insatiable s'ajoute une tendance à l'auto-destruction, à l'anéantissement. Si la psychanalyse des débuts présente un être frustré, blessé, éventuellement choqué par ses désirs sexuels, incapable qu'il est de se les avouer et les tolérer, la psychanalyse d'après 1920 propose donc une vue pessimiste dans laquelle le bonheur est définitivement inaccessible.

 

Le psychanalyste Jacques Lacan mit un soin particulier à étudier le manque : manque de l'autre, sous toutes ses formes ; si Lacan n'est pas particulièrement pessimiste, il a par contre formalisé cet aspect de l'étude de la vie psychique.Des psychologues comme Reich, Jung, Perls, Fromm ou Maslow affirment au contraire que le bonheur est le sentiment naturel qu'éprouve la psyché humaine lorsqu'elle s'épanouit d'une manière intégrée, ce qui suppose une forme de culture fondée sur l'amour et l'être plus que sur la peur et l'avoir.

- et moi  doit encore apprendre ..........

...suis-je le seul au monde ?  ....MICHEL ONFRAY......possible..

                                                                    *

 Autre reflexion sur les techniques d’aujourd’hui École de Palo-Alto

En psychologie et psycho-sociologie, l'École de Palo-Alto est un courant de pensée et de recherche ayant pris le nom de la ville de Palo Alto en Californie, à partir de 1950. En effet, au début des années 50 l'anthropologue Gregory Bateson, compagnon de Margaret Mead, développe avec Jay Haley, John Weakland et Donald Jackson - la théorie de la « double contrainte » (double bind) qui envisage la maladie mentale comme un mode d'adaptation à une structure pathologique des relations familiales. Cette théorie provoque un bouleversement des conceptions psychiatriques traditionnelles et contribue au développement de la thérapie familiale. Dans le but d'étudier les implications thérapeutiques de cette approche, Don Jackson fonde, en 1959, le (en) Mental Research Institute (MRI) à Palo Alto. Paul Watzlawick, puis Richard Fisch, rejoignent le MRI et poursuivent les travaux du groupe Bateson. Ce dernier quitte Palo Alto en 1963 alors que Jay Haley et John Weakland viennent compléter les effectifs du MRI.  L'une des grandes forces de l'École de Palo-Alto fut ce que l'on a appelé le collège invisible. En effet, constituée de personnes venant d'horizons différents, l'École de Palo-Alto s'est développée de manière totalement informelle. La force de ce mode de fonctionnement résidant dans la souplesse qu'elle permit. Opposée à la théorie freudienne, il s'agit de traiter les malades non plus suivant le schéma classique en psychanalyse (névrose/psychose) mais en travaillant sur les interactions « actuelles » du patient avec l'environnement. Les domaines de psychologie/psycho-sociologie abordés sont : la communication ; la proxémique ; les paradoxes ; relations à l'autorité etc. Par extension, ces recherches abordent le domaine de l'organisation dans l'entreprise.

 

 

 

http://www.cairn.info/article.php?ID_REVUE=CPC&ID_NUMPUBLIE=CPC_016&ID_ARTICLE=CPC_016_0253

Pour peu que l’on prenne la peine d’y bien regarder, il n’est nul individu qui ne vit et construit sa propre réalité. L’expérience de chacun résulte ainsi d’interactions successives et constantes entre une vision du monde et la connaissance résultant de son application. Voilà ce que nous disent en substance les divers textes rassemblés sous la direction de Paul Watzlawick et Giorgio Nardone, représentants s’il en est de la désormais célèbre Ecole de Palo Alto. Nardone nous propose à ce titre des protocoles d’intervention pour quelques types de pathologies ainsi que ses résultats cliniques.

Reste, peut-on lire en filigrane, que l’humilité est souvent la meilleure des stratégies en thérapie, qu’elle soit brève ou non, et que rien n’est plus pratique, comme aimait à le déclarer Bateson, qu’une bonne théorie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Publié dans soshedoniste

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